Et maintenant par train de nuit, à travers l’indolente, à travers la violente amertume de l’Inde douce-amère, il faut partir et dire adieu. Le Bundelkhand s’enfonce dans la nuit longue, dans l’obscure première nuit des temps, crevée par les regards d’hypnose des dieux hindous. Sur ce chemin de fer, et dans les premiers âges, et […]